Les premiers vosins.
Les jours s'écoulaient paisiblement, sans que rien de notable ne s'y produisit. Jusqu'au jour où des travailleurs du bâtiment viennent sur le terrain à côté de nos charmants hommes-elfes.
Rapidement, une charmante maisonnette couleur terre sortie de terre. Et trois jours plus tard, un homme et une femme s'y installèrent...
- SPEND HELL CITY! GARE A TOI! NOUS SOMMES LA!
Jodie LARSON, la soeur aînée de Jérôme, s'écria face au ciel. Les jumeaux LARSON aspiraient tout deux à la richesse et tout ce qui va avec. Leur parents étaient si pauvres qu'ils avainet vendu leur enfants à la famille LARSON qui étaient aisés, mais sans espoir de procréer. Mais l'infortune les touchèrent et leur entreprise fut liquidé et ils mourruent d'une maladie étrange qui apparaissait aléatoirement et mystérieusement sur la population de SimWorld.
C'est pourquoi ils fuirent SimCity à la recherche d'un quartier en développement où ils pourraient fonder et rebâtir leur dynastie et leur richesse d'antant.
C'est avec leurs maigres économies qu'ils bâtirent cett maisonette et l'amménagère modestement (pour le moment).
Jodie et Jérôme entrèrent dans la maison, directement suivie du chauffeur de taxi qui leur amenèrent leurs maigres effets ainsi que le pupitre de Jodie.
- A peine arrivée et tu peinds! Nous avons nos valises à défaire, soeurette!
- Le temps, c'est de l'argent! Ce tableau aura le temps de prendre de la valeur d'ici là! Pour ma valise, cela attendra! On n'a presque rien sur le dos de toute façon! Et franchement, j'ai hâte de vite faire fortune pour avoir une floppé de serviteurs à ma botte, comme avant!...
- Prenons notre mal en patience, dis calmement Jérôme en regardant par la fenêtre.
- Tiens!...
- Mmmmmm... Qu'y a-t-il ? Marmonna Jodie.
- La factrice est là. On va pouvoir vérifier si ta source est exacte! Oh! Elle pose le journal par terre! Et s'il pleuvait! Pffff!...
Jodie reposa ses pinceaux et alla à la rencontre de sa factrice.
- EH! DIS DONC! Ce ne sont pas des manières à avoir lorsque vous distribuez le journal ! Il faut nous l'apporter! S'indigna vertement Jodie. Nous sommes pas des chiens!
- EH! OH! CALMOS! C'est plutôt à moi de dire cela ! Je fais mon boulot comme on me l'a demander de faire et le journal est toujours bien emballé ! Et si cela ne vous plait pas, payez-vous un chien. Si vous savez au moin ce que c'est !
- Les seules personnes qui reçoivent directement leur journal dans les mains, se sont les riches! Ceux qui paye un extra, souvent forfaitaire. PAS RICHE! PAS D'CAPRICE! Rajouta sarcastiquement la postière. C'est comme au foot! Il faut des échanges réguliers pour mener l'équipe à la victoire.
- Tu verras, lorsque je serrais riche! Marmonna pour elle Jodie en exquissant une micro sourire sournois.
- Pff! Pfff! Hummannhh! Alors? Hummpff!...
- Il faut soudoyer les postiers pour avoir le journal dans notre main !
- Humpppff! Fffff! Nan! Mmmouah! L'info? Pfff! Pfff!...
- Mmmm... Ah! J'ai trouvé! Ecoute : " Dans quelques mois, le manoir HIJIME de la richissime famille Japonaise De SOLERIS LUMERIS sera achevé. Après l'inauguration du Maire actuel, M. RAPETOUT, la famille la plus puissante et la plus secrète de tout SimWorld s'installera à Spend Hell City. Il est même dit que l'aînée de la famille souhaite marier son petit frère et ses deux petites soeurs afin d'assurer la lignée de cette dynastie très ancienne. Cependant, les futurs époux/ses devront obligatoirement prendre le nom "De SOLERIS LUMERIS"..." blablabla et bla! Jodie reposa le journal. Et le quartier et rempli de postes prêt à pourvoir!
- Je prendrais un boulot plus tard. Répondit Jérôme en éteignant leur télé flambant neuve. En ce qui concerne la famille "de nos rêves", et bien, ils nous reste plus que de trouver un moyen de les approcher! En attendant...
- En attendant, va te doucher! Je prépare le déjeuner.
Une demi-heure plus tard, ils s'installèrent autour de leur petite table pour manger un sandwich à la viande. Ils discutèrent gaiement de leur arrivé ici-là.
- ...et déménager en plein été! Il n'y a pas mieux! C'est très ensoleillé ici et nous vivons juste en face de piscine municipale.
- En attendant d'avoir notre piscine!
- Jérôme! Triple benêt! Pour croiser des gens riches, il faut être près des lieux de sorties! Et par cette chaleur, une piscine! C'est l'idéale!
- Youuuuhou! Jodie! Bien vu!
- Que ferais-tu sans moi?! Je me le demande!
- Attends! Ils nous faut trinquer! Je vais chercher notre bouteil de champagne!
- Levons notre verre à notre instllation à Spend Hell City! A la chasse aux riches qui s'annonce de bonne augure! Et à l'établissement de notre futur pouvoir!
- A nous! Les jumeaux LARSON buvèrent leur champagne avec joie.
Après ce maigre repas, Jodie décida de se remettre en forme, tandis que Jérôme postait par mail la candidature de sa soeur pour un poste dans le domaine de la médecine.
Alors que Jodie entamait sa dernière série d'exercices physiques, la sonnerie de la porte d'entré se mis à retentir dans toute la maison.
Jérôme étant sous la douche, c'est Jodie qui alla ouvrir la porte.
- Messieurs?!...
- Wouahouu! Bonjour jolie dame! Je n'aurais jamais que c'était une magnifique voisine qui allait habiter à côté de chez nous! Je me présente! Je m'appelle Juan AMOR, Pour vous servir! L'homme BCBG, c'est Edouard et celui en jean, c'est Willëm. Avec deux autres potes, nous vivons dans la maison à côté de la votre. Tout comme les cinq femmes qui vivent en face de chez nous, nous sommes les premiers résidents de ce quartier! Et vous? Mademoiselle...?
- Jodie. Jodie LARSON. Je viens tout juste d'amménager ici avec mon frère jumeau.
- Jumeaux? C'est qui l'aînée?
- C'est moi.
- Je l'aurais parié! Vous respirez la sagesse, l'intelligence et la beauté!
Jodie était très flatté par la flatterie de Juan, qui était fort à son goût! Elle pu vaguemet entendre les dénommé Willëm et Edouard discuter un peu plus loin, tandis que Juan ne cessait de la draguer.
- Et! Will! Regarde là-bas! Lillia embrasse un bel Apollon!
- Hein? Hein? Où ça?!...
- Mais elle est o... SPLASH! Will se reçu une bombe à eau en pleine figure dès qu'il se retourna vers son ami.
- AHAHAAHAHAAHAAAAH! Edouard était tordu en quatre tellement il riait. Comme... tu soufrais... de... déshydratation, j'ai voulu te... rafraîchir... un peu! Dit-il entre deux rires.
- Ô, mon bon roi! Milles merci pour votre gratitude sous ce magnifique soleil d'été brûlant!
- Hin! Hin! Hin! Hin! Moi! Le roi de l'eau, te bénit et te donne ma protecton infinie!
- Euuuh! Non merci! J'préfère la protections des ombres!
Puis les deux hommes rigolèrent de concert. L'été aidant, ils étaient plus décontracté et plus plaisantins!
- ... et dès que je vous ai vu, le béguin à cogné mon coeur.
- Vraiment? Gloussa Jodie. Et le béguin à aussi frappé mon coeur en vous voyant. Il me dit de vous inviter à la maison.
- Je suis tout à vous!
C'est ainsi qu'ils se retrouvèrent tous à l'intérieur de la maisonette. Edouard s'arrêta au mirroir. On ne lui avait cessé de lui apprendre de toujours soigner son apparence. C'est l'ne des clé de la manipulation d'autrui... Tout comme le fait si bien Juan. On avait beau dire, il état d'une beauté rare!
- Edu! Tu dance?! Il faut égayer cette maison!
- Pourquoi pas. Et il se mis à danser avec son ami tandis que Jodie était à deux doigts de se jetter sur Juan. Lorsque, tout à coup, la porte en face de lui s'ouvrit.
- Bonjour monsieur?...
- Edouard. Ce dernier arrêta de danser. Il ne dit pas son nom complet car il le sentait "mal". Il était arrivé tel un prince dans son palais alors que, bien que plus spacieux que leur "ferme", il n'avait pas de quoi arader. Ni le nom, ni la fortune.
- Je suis Jérôme LARSON et je viens tout droit de la grisaille de SimCity. Ma soeur et moi souhaitons faire bénéficier à cette ville émergeante notre savoir-faire dans le monde des affaires. Mais nous ne pensions pas que les terrain constructible ne se faisait que petit à petit, voir carrément sur commande! Dit-il d'un ton supérieur et condescendant.
- Vous n'êtes pas un homme d'affaire avisé si vous ne saviez même pas cela en venant ici! Edouard développa sa pensée lorsqu'il vit Jérôme hausser des sourciles. Je suis un homme d'affaire avisé, et je savais parfaitement à quoi mis attendre en m'installant ici.
- ... Jérôme commençait à paniquer. La tête de son interlocuteur ne lui disait franchement rien, mais une sonnette d'alarme retenti dans sa tête. Quel est votre nom déjà?
- Je ne le vous ai pas donné. Je suis Edouard III de SIMFLOUZE.
Jérôme faillit avoir une crise cardiaque. L'autre famille la plus puissante au monde était en face de lui, dans sa misérable demeure. Il se frotta les mains sans même s'en rendre compte et échangea des banalités avec le célèbre héritier, dans l'attente qu'il lâche un gros morceau...qui ne vint pas.
Willëm suivi toute la scène depuis le mirroir devant lequel il dansait en "toute impunité". Il avait capté les regards intéréssé à l'entente du nom d'Edu, et à l'intérêt "excèssif" portésur la personne de Juan par Jodie, car il faisait vraiment très "nouveau riche". Ils ne savait pas à qui ils avaient à faire, surtout pour Edouard. Il se marrait d'avance.
- Vous avez unregard intense et siexpressif! Minauda Jodie.
- Merci! Je vous retourne le complement! Chuchota Juan.
- Mmmmmmh! Et ce parfum! Puis-je m'approcher pour mieux le sentir? Fit Jodie en battant des cils.
- Je vous en prie.
Jodie fit mieux que de sentir son parfum. Elle l'embrassa doucement, vite suivit de Juan qui ne menait plus rien depuis longtemps déjà.
Pendant ce temps-là, Jérôme parla stradivarius avec Willëm tout en appelant ses hôtes à manger des sandwichs à la dinde.
Le repas fut bon enfant, bien qu'on sentait sans peine le désir brûler pour Jodie et Juan.
D'ailleurs, il ne tardèrent pas à sortir de table pour roucouler devant le canapé où Jérôme était assit, et pressé de mettre sa soeur au courant pour l'héritier de SIMFLOUZE.
Willëm vit, lui aussi, que Jodie prie au piège Juan à son propre jeu de la séduction. Ma foi, se dit-il, cela lui fera une bonne leçon de vie! Il devient carrément accros, lui!
Alors que Willëm se dirigea vers les toilettes, il vit Edu et Jéjé assis à même le sol, afin de faire de plus ample connaissances. Sans qu'il ne s'en rendit compte, Jéjé, se fit "évalué" par Edu. Mieux vaut garder ses ennemis près de soi, dit-on.
- Dis, mon chou, tu reste bien dîner avec moi? Je te fait des pâte à la carbonara dont tu m'en diras des nouvelles!
- Mmmmh! Je suis déjà conquis par les formes... que prend ton plat!
- Hihihihi! Coquin, va!
- Alors, ça ta plu? Interrogea sensuellement Jodie.
- C'était sa-vou-reux! Il ne me manque plus que le dessert!
- Le dessert est spéciale... Et Jodie entreprit de l'embrasser le long du bras.
Juan cru déffaillir, tant le désir était intense.
Il était si heureux qu'il prit subitement Jodie dans ses bras pour la serrer très fort. Il était carrément mordu.
Alors que Jodie fit une deuxième tournée de ses pâtes à la carbonara, Willën se rapprocha de Juan,et lui dit :
- Tu devrais faire attention à elle mon vieux! Elle est pas nette!
- Pas nette? Arrête ton char! Elle est divine!
- Si tu veux pas m'écouter, c'est ton droit! Mais ne vient surtout pas pleurer dans mes bras après!
- Pfff! Jaloux, va!
Willën ne releva pas, mais il sonna la cloche du départ.
- Je te dis "au revoir", ma biche!
- Ooooh... Ce rendez-vous étais si bien!... Et si nous nous revoyons demain soir pour un rendez-vous romantique.
- Pas de problème! Je passe te chercher.
- Je t'attendrais avec impatience.
Avant de partir, Willëm s'introduit furtivement dans la chambre de Jérôme. Il repéra les lieux et pensait. Il pensait que ce visage endormi lui rappelait vaguement quelque chose. Il reparti tout aussi furtivement et quitta cette maison dans laquelle il ne voulais plus y mettre les pieds.
L'air y était malsain.
Cette nuit-là, Jérôme n'eut pas l'occasion de parler à sa soeur d'Edouard, mais cela ne l'empêchait pas de aire de beaux rêves où elle se voyait proposer le mariage au creux de l'oreille par un jeune et riche homme.